Le tango embrasse l’histoire d’amour la plus célèbre et la plus dramatique de la littérature. Un tango ‘Roméo et Juliette’ créé à Paris. Dans notre ‘Trois minutes avec’, nous discutons avec Riad Sattouf, l’un des auteurs de bande dessinée français les plus lus du moment. En avant-première française, une comédie bandit : « L’Innocent », de Louis Garrel ; et dans la chronique musicale, on a rencontré la multiforme Thérèse.

Les amateurs de littérature les plus connus se déplacent de Vérone à Buenos Aires. C’est le propos de cette libre adaptation passionnée, festive et sensuelle de « Roméo et Juliette » avec 10 danseurs de tango, créée à Paris, avec une mise en scène du chorégraphe Francisco Leiva.

Roméo et Juliette se rencontrent et se déclarent leur amour en dansant. Dans les rôles principaux, deux danseurs, non pas argentins, mais grecs tombés amoureux du tango, Mariana Patsarika et Dimitris Biskas. Le spectacle mêle milonga, tango traditionnel et danse moderne, accompagné d’une partition originale pour ce spectacle.

Un auteur de BD qui séduit petits et grands

Riad Sattouf est le père de ‘L’Arabe du futur’, une bande dessinée traduite en plusieurs langues, mais il est aussi cinéaste. Nous les avons emmenés passer trois minutes avec lui, main dans la main avec Melissa Barra.

Né à Paris d’un père syrien et d’une mère française, Sattouf a grandi en Libye, en Syrie puis en Bretagne, en France. Une expérience qui l’a amené à publier la série BD ‘L’Arabe du futur’. Mais le thème qu’il a le plus exploré dans ses comédies et bandes dessinées est l’enfance et l’adolescence. C’est le cas de la série ‘Les carnets d’Esther’ ou de sa bande ‘Les Beaux Gosses’.

« L’Innocent » de Louis Garrel

‘L’Innocent’ arrive en salles, un film inspiré par la jeunesse de l’acteur et aujourd’hui réalisateur Louis Garrel.

Cette comédie raconte les aventures d’Abel, un garçon qui découvre que sa mère est follement amoureuse d’un homme qui vient de sortir de prison. Avec son amie Clémence, Abel va tenter de protéger sa mère. Le film rappelle les films de gangsters des années 70, mais avec une pointe d’humour.


Louis Garrel se tenait derrière et devant la caméra dans ce film présenté au dernier Festival de Cannes.

Thérèse, une artiste aux multiples facettes


Dans la chronique musicale, on parle d’une artiste totale, elle s’appelle Thérèse et elle est musicienne, styliste, mannequin et militante. Ses chansons parlent de féminisme inclusif, de lutte contre les discriminations ou l’envie dans le monde artistique.

A lire également