MADRID, 25 janv. (EUROPA PRESS) –

Le ministre des transports, de la mobilité et de l’agenda urbain, José Luis Ábalos, se rendra à la Commission de la branche au Congrès jeudi prochain, 4 février, pour rendre compte de sa gestion pendant la tempête «  Filomena  » et le blocus des camionneurs à la frontière entre Royaume-Uni et France en fin d’année.

Cela a été confirmé à Europa Press par des sources parlementaires du PSOE, après le débat au sein de la Délégation permanente sur la tenue d’une session extraordinaire cette semaine de la Commission des transports pour sa comparution.

Au sein de la Délégation permanente, le chef des transports a accumulé jusqu’à trois demandes de comparution, toutes à l’initiative du PP, pour rendre compte de ces deux affaires, mais aussi dans trois décrets-lois avec des mesures de transport et de logement.

Pour le PSOE, ces affirmations sont liées au fait qu’Ábalos, en plus d’être le ministre des transports, est le secrétaire à l’organisation de son parti, et a défendu sa direction pendant la crise des transports.

Ainsi, il a défendu que par l’intermédiaire de la Direction générale des transports il était en contact avec son homologue français et avec le Comité national des transports, en plus de faciliter des exceptions dans la réglementation des pauses et des heures de circulation afin que le retour des travailleurs se fasse  » dans les meilleurs délais et dans les meilleures conditions « .

Tout cela malgré le fait que, comme son adjoint Rafa Mayoral l’a partagé avec United We, c’est une responsabilité des Affaires étrangères. Le PNV a également soutenu la comparution d’Ábalos à une session ordinaire de la Commission sur des «faits graves» dont «cette Assemblée n’a pas été informée de la manière dont ils ont été gérés».

Le PP, Vox et Ciudadanos ont critiqué la gestion du gouvernement, déplorant le manque de responsabilité jusqu’à présent d’Ábalos, s’assurant que des gouvernements comme la Pologne ou la République tchèque venaient envoyer du personnel militaire pour approvisionner les transporteurs et le réalisation d’un «test» de Covid-19.

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