Le groupe national du parti extrême droit serait le plus élu si les élections présidentielles en France avaient maintenant lieu, selon un studio Elabe publié pour BFMTV -‘LA Tribune Dimanme ‘, qui place un éventuel candidat soutenu par le président Emmanuel Macron en deuxième position.
Plus précisément, le leader ultra-droit Marine Le Inhabilité la semaine dernière aurait entre 32 et 36% des voix, tandis que le président de son parti, Jordan Bardella, resterait à 31-35,5%.
Cinq points par derrière resteraient dans l’un des six scénarios considérés comme un candidat central, de gauche ou de droite, selon l’étude, ce qui indique du mieux pour accompagner l’ultra-droit au deuxième tour à Édouard Philippe (20,5-24%) OA Gabriel Attal (18%). Bruno Retailleau (8-10%) ou Laurent Wauquie (4,5%) sont également dans les piscines.
Dans le domaine de gauche, avec un vote très dispersé, Raphaël Glucksmann (10,5%) serait en avance sur le chef de France Insumisa, Jean-Luc Mélenchon (9,5-11%) en cas de participation sans alliance progressiste derrière. Des noms tels que Marine Tondelier (3,5 à 6%) ou Fabien Roussel (4,5 à 6%), avec des chiffres similaires à ceux de François Hollande ou Olivier Faure, apparaissent également.
Selon l’enquête, environ 5% de soutien sont des noms tels que l’ancien Premier ministre de Dominique de Vilepin ou l’extrême droite, la politicienne droite, Éric Zemmour, s’est préparée à partir de 1 533 interviews tenues entre le 2 et le 4 avril.