Dans un match à égalité, les États-Unis ont battu les Européens de seulement cinq points et ont remporté la médaille d’or. Ainsi, après ce 87-82, ils ont ajouté leur seizième médaille d’or en discipline. Pendant ce temps, dans la branche féminine, les Françaises accrochaient celle de bronze ; idem pour l’Argentine en volley-ball masculin ; tandis que l’Espagne a fait de même en water-polo féminin et en handball masculin.

Petit à petit, Jeux olympiques ils éteignent leur flamme et laissent derrière eux une grande traînée de moments historiques, certains avec des assaisonnements épiques. Cependant, le parti multidisciplinaire revendique toujours une forte activité, entrant dans la phase de définition et économisant plus d’émotions pour ses 48 dernières heures.

Par exemple, les États-Unis ont excellé dans les sports d’équipe en remportant l’or au basketball masculin et au water-polo féminin; tandis que la France et l’Argentine ont remporté le bronze en basket-ball féminin et en volley-ball masculin, respectivement. De même, les derniers tests en athlétisme ont été effectués.

  • Les États-Unis maintinrent leur règne et l’emportèrent sur la France

Les Français ont atteint la finale après une performance exceptionnelle tout au long du tournoi, dans laquelle ils sont restés la seule équipe sans défaite, après avoir battu les Américains dans le match de la première journée.

Pourtant, les rois de la discipline n’ont pas manqué leur revanche et ont battu les Gaulois de justesse 87 à 82. Avec Kevin Durant à un niveau énorme, les Américains ont dû travailler au maximum pour casser la rigidité défensive rivale sur le périmètre. , quelque chose qui leur a permis d’être dans le jeu tout au long du développement.

Le Français Rudy Gobert (à droite) et l'Américain Kevin Wayne lors du match des Jeux Olympiques à Saitama, au Japon, le 7 août 2021
Le Français Rudy Gobert (à droite) et l’Américain Kevin Wayne lors du match des Jeux Olympiques à Saitama, au Japon, le 7 août 2021 Aris Messinis AFP

Pourtant, malgré les difficultés posées par la France, les États-Unis ont toujours ouvert la voie. Au niveau de Durant (29 points, six rebonds) se sont ajoutées les bonnes performances de Jayson Tatum (19 points) et les segments sporadiques de Damian Lillard (11 points) et Jrue Holiday (indispensable en défense).

Avec Rudy Gobert et Evan Fournier bien maîtrisés par le système américain, la France a du mal à trouver du jeu interne. Avec une fiche de 71-63 au début du quatrième quart-temps, le retour était presque une utopie, mais les Européens se sont battus jusqu’au dernier ballon pour réduire l’écart et terminer à seulement cinq derrière.

C’est déjà le 16e championnat olympique que les États-Unis remportent dans ce sport et aucun pays ne peut détenir une marque similaire dans une autre discipline. De plus, c’est le quatrième d’affilée et le septième des huit derniers. Seule l’Argentine à Athènes ’04 pourrait couper cette domination.

Pour prendre de la dimension, en dehors de l’Albiceleste, seules l’Union soviétique – à deux reprises – et la Yougoslavie ont pu s’interposer entre les Américains et la médaille d’or.

  • L’Argentine a obtenu une médaille de bronze historique en volleyball masculin

L’Albiceleste a culminé un grand concours en remportant le bris d’égalité Le Brésil, en course pour la troisième place sur le podium du volley-ball. Avec un bon niveau d’Agustín Loser dans les blocs, de Luciano de Cecco à la mise en place et de Bruno Lima à la conversion, la classique sud-américaine a fini par tacher la médaille de bronze en bleu et blanc.

Ceux dirigés par Marcelo Méndez ont battu les Brésiliens avec des partiels de 25-23, 20-25, 20-25, 25-17 et 15-13 pour terminer troisième d’un match après 29 longues années. La dernière fois, c’était à Séoul ’88, battant le même rival à Tokyo ’20.

Le Brésil a clôturé une compétition décevante : les champions actuels de la discipline sont arrivés au Japon avec l’ambition de défendre la couronne remportée à Rio ’16. Avec l’or à Athènes ’04 et l’argent à Pékin ’08 et à Londres ’12, le ‘Verdeamarelha’ était hors du podium pour la première fois depuis Sydney 2000.

L'équipe argentine de volley-ball célèbre sa victoire contre le Brésil lors des Jeux olympiques de Tokyo, au Japon, le 7 août 2021.
L’équipe argentine de volley-ball célèbre sa victoire contre le Brésil lors des Jeux olympiques de Tokyo, au Japon, le 7 août 2021. © Youri Cortez / AFP

  • Le canoë et la boxe donnent au Brésil deux autres médailles d’or

Isaquias Queiroz dos Santos a été couronné ce samedi lors de la finale de rafting de la division C1 1000 qui s’est déroulée dans le chenal Sea Forest. Après l’argent à Rio ’16, il a remporté l’or à Tokyo avec un temps de 4: 04.408.

Derrière le Chinois Liu Hao a terminé pour un peu plus d’une seconde (4:05.724). Il s’agit de la deuxième médaille de l’Asiatique à ces Jeux Olympiques, après avoir remporté l’argent au C2 1000m avec son compatriote Zheng Pengfei. Alors que le bronze est allé au Moldave Serghei Tarnovschi et ses 4: 06.069 minutes.


De son côté, le boxeur Hébert Souza est revenu d’un combat adverse quelques secondes derrière la chicarra avec un Assommer sur l’Ukrainien Oleksandr Khyzhniak et a remporté le titre dans la catégorie des poids moyens.

Lors des deux premiers tours, les cartes avaient tourné le dos à un adversaire supérieur, agressif et dominant. Avec 18-20, et un segment qui n’allait pas être favorable non plus, Souza a profité de la mauvaise décision de Khyzhniak pour tenter de finir le Sud-Américain au lieu de conserver l’avantage et lui a offert un centre du gauche qui a mis KO son rival.

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