Nos rédacteurs prédisent le vainqueur de la Coupe du Monde des Clubs, qui décevra, et ce qu’il faut attendre de l’Inter Miami et des équipes de la MLS
C’est l’heure de la Coupe du Monde des Clubs. Oubliez tout le reste. Oubliez la politique, les gros titres, le bruit extérieur. Éloignez le contexte complexe, les préoccupations, les voix dissidentes.
Et ce qui reste, c’est l’intrigue.
Il y a, il faut l’admettre, un besoin sportif pour que quelque chose comme ça se produise aux États-Unis cet été, à un an de la Coupe du Monde 2026. Les meilleures équipes d’Europe et d’Amérique du Sud devraient s’affronter. Pourquoi ne pas y ajouter l’Asie, l’Afrique et l’Amérique du Nord tant qu’on y est ? L’Océanie, juste pour compléter le tableau ? Pourquoi pas.
Nous avons donc 32 équipes qui s’affrontent à travers le pays au cours du prochain mois. Il y aura des moments mémorables, mais aussi quelques moments délicats. Personne ne sait encore quoi penser de cette chose, et il faudra peut-être un certain temps pour qu’elle prenne de l’ampleur. Mais une fois que les matchs deviendront sérieux, cela pourrait être un spectacle.
C’est aussi désormais un forum pour l’excellence sportive. Les clubs se sont préparés. Manchester City et le Real Madrid ont déjà frappé le marché des transferts. Les équipes sud-américaines sont prêtes. La MLS, avec l’Inter Miami, les Seattle Sounders et le LAFC, veut faire bonne figure.
Au sein de ces 32 équipes, il y a un groupe de joueurs explosifs qui veulent prouver quelque chose ou faire une déclaration, pour diverses raisons, notamment Vinicius Junior et Jude Bellingham du Real Madrid, Lionel Messi de l’Inter Miami, Cole Palmer et Nicolas Jackson de Chelsea, Harry Kane du Bayern Munich, Erling Haaland de Manchester City, Estevao Willian de Palmeiras et Ousmane Dembele du PSG.
Alors, qui va gagner ? Qui remportera le Soulier d’or, et qui vaudra la peine d’être regardé ?
