Le Parlement européen réclame 3,5 millions d'euros au groupe national pour le terrain des assistants parlementaires

Le Parlement européen a officiellement exigé 3,5 millions d’euros pour des dommages-intérêts au groupe national français à l’extrême droite, ainsi que les vingt personnes condamnées dans le cas des assistants parlementaires des députés de cette formation.

L’institution européenne exige que le Parti Marine Le Pen pour ce montant, bien que le total des dommages s’élève à 4,5 millions d’euros, car le groupe national a déjà payé un million d’euros au cours du processus, a rapporté mardi le réseau de télévision BFMTV.

La somme, recueillie dans la peine publiée fin mars, comprend 80 000 euros en frais d’avocats, 200 000 en compensation pour les dommages moraux et 3,2 millions de personnes pour les dommages économiques.

Le Parlement européen a le droit de réclamer ce montant sans attendre le verdict du procès d’appel – dont la décision pourrait être connue à l’été 2026 -, car le tribunal pénal de Paris a ordonné l’exécution provisoire des condamnations. Malgré cela, le parti peut recourir au président de la Cour d’appel de Paris pour demander une prolongation de paiement.

Du bureau de presse de l’agence, ils ont souligné dans les déclarations au journal «Le Figaro» que «les fonds en question sont des fonds publics européens et, en ce sens, les citoyens européens et les contribuables français sont aussi victimes dans cette affaire que le Parlement européen».

Le Pen a été handicapé dans le cas de faux assistants parlementaires à travers lesquels les fonds européens ont été détournés d’une valeur de 2,9 millions d’euros. En outre, il a été condamné à quatre ans de prison, dont deux en entreprise sont déjà remplies sous la liberté gardée, ainsi que pour payer une amende de 100 000 euros dans une affaire qui a également éclaboussé huit autres accusations élues qui ont été condamnées à des sanctions similaires.

Selon l’accusation, National Group a créé un complot dirigé par Le Pen pour utiliser les régimes payés aux députés de 2004 et 2016 pour rémunérer leurs assistants parlementaires à payer les salaires des travailleurs du parti dans l’objectif de “soulager” leurs finances. Par conséquent, un total de 23 personnes ont été concentrées.

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