L’ancien ministre français Arnaud Montebourg a confirmé mercredi qu’il ne se présenterait pas comme candidat à la prochaine élection présidentielle, après des jours de spéculation précédés d’un faible soutien dans les sondages d’intention de vote.
Montebourg, ancien ministre de l’Economie lors de l’étape du socialiste François Hollande à l’Elysée, a supposé dans une vidéo qu’il n’avait pas d’autre choix. « Je n’ai pas réussi à unir ma candidature avec d’autres dans un programme commun », a-t-il déclaré, regrettant aussitôt après que sa « famille politique » ne veuille pas surmonter les « désaccords ».
L’ancien ministre n’a en effet soutenu aucun des candidats de centre gauche encore en lice. Un sondeo publicado el lunes por ‘Paris Match’, LCI y Sud Radio concedía a Montebourg una intención de voto de apenas el 1 por ciento y, en líneas generales, ha figurado en la mayoría de las encuestas de estos últimos meses por debajo del 5 pourcent.
Montebourg a évoqué en décembre la possibilité de tisser des alliances pour que la gauche ait des options aux prochaines élections et a également relevé le gant lancé par la maire de Paris, Anne Hidalgo, lorsqu’elle a également glissé une proposition d’unité. Pour l’instant, les candidats restent divisés et il n’y a aucun signe de rapprochement entre eux.
Cette division maintient l’actuel président, Emmanuel Macron, comme favori pour les prochaines élections, qui figurait dans le sondage de lundi avec 24,5 %. Marine Le Pen, de l’Agrupación Nacional, et Valérie Pécresse, de Los Republicanos, sont pratiquement à égalité derrière, avec respectivement 17 et 16,5 %.