Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a évité de donner une date précise à la fin du Conseil des ministres et s’est limité à reconnaître qu’il est « probable » que la conclusion des travaux d’évacuation de l’aéroport international Hamid Karzaï de la capitale afghane .

Les autorités françaises ont fait évacuer 2.500 personnes depuis que les talibans ont pris le contrôle de Kaboul le 15 août. Le transfert de plusieurs personnes soupçonnées d’avoir des liens avec l’insurrection a agité le débat politique en France, chose qu’Attal a voulu régler, soulignant qu’il n’y a eu « aucune brèche sécuritaire » dans l’ensemble du processus.

« Je veux être extrêmement clair. La France ne choisira jamais entre ses devoirs humanitaires et la sécurité des Français », a-t-il prévenu, pour défendre d’emblée le travail d’analyse qui se fait au cas par cas et qui éviterait des risques.

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