Le président français, Emmanuel Macron, a exprimé sa volonté de traiter les “nouvelles formes de coopération” sur la “dissuasion nucléaire” étendue aux alliés européens avant le milieu de cette année.
Lors d'une conférence de presse offerte à Bruxelles, il a assuré qu'il est donné dans la date limite jusqu'à “la fin du semestre” pour voir “si de nouvelles formes de coopération peuvent survenir” au sein de l'Union européenne pour que d'autres pays alliés bénéficient de la dissuasion nucléaire française.
“Nous allons ouvrir une phase d'échange entre nos techniciens, un dialogue stratégique et technique, qui sera suivi au niveau des chefs d'État et du gouvernement à voir, à partir d'ici à la fin du semestre, si de nouvelles coopérations peuvent survenir”, a expliqué le président gallic à la fin du sommet avec les vingt-sept ans sur l'Ukraine.
En ce sens, Macron a réitéré que “la priorité est de soutenir l'Ukraine à court terme” en considérant que la Russie représente “une menace existentielle”. Par conséquent, il a préconisé “d'augmenter nos capacités de défense et (…) de renforcer les capacités de défense autonomes pour les Européens dans les années à venir”.
Le chef d'Elysee a décrit son homologue russe, Vladimir Poutine, comme un “révisionniste impérialiste”. “C'est une contradiction historique: Napoléon a fait des conquêtes et le seul pouvoir impérial que je vois en Europe s'appelle la Russie. Il est un révisionniste impérialiste de l'histoire et de l'identité des peuples”, a-t-il déclaré dans les déclarations recueillies par BFMTV.
Le réseau de télévision a rapporté que Macron a eu une conversation téléphonique avec le chef de la Maison Blanche, Donald Trump, à la fin du sommet. Au cours de la conférence de presse, le président français a rappelé que les États-Unis et la France “nous avons toujours été les uns pour les autres”.
“Nous sommes des alliés fidèles et fidèles”, a-t-il ajouté, après que sa paire américaine a mentionné la France dans des déclarations dans lesquelles il s'est demandé que les pays de l'OTAN iraient assister aux États-Unis en cas d'attaque, comme indiqué dans l'un des articles fondamentaux de l'alliance atlantique.