BRUXELLES, 6 octobre (EUROPA PRESS) –
En ce sens, l’UE considère qu’il est « peu probable » que la lutte contre les groupes radicaux opérant dans la région « soit plus efficace sans le soutien de l’armée française ».
La France maintient près de 1 500 soldats présents au Niger et il est prévu que tous les soldats et matériels français retirés rentrent en France, excluant leur déploiement dans une autre zone de la région.
Concernant l’implication de ce mouvement dans la présence militaire de l’UE au Sahel, le porte-parole a rappelé qu’une réflexion est en cours au sein des Vingt-Sept pour définir l’avenir des opérations de l’UE.
Le bloc a annoncé une mission de partenariat militaire au Niger quelques mois seulement avant le coup d’État. Avec cette opération, il était prévu de déployer des experts et des conseillers militaires pour développer l’armée nationale, même si la mission a été immédiatement suspendue et n’est pas devenue opérationnelle.
Comme l’a reconnu le Haut Représentant pour la politique étrangère, Josep Borrell, les missions militaires européennes en Afrique sont dans une « inconfortable ‘stand-by’ » et il est temps de repenser leur avenir et de mettre en œuvre de nouveaux modèles pour maintenir leur présence dans la région du Sahel. . , malgré la multiplication des coups d’État militaires.