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Les proches de Cecile Kohler et Jacques Paris, deux citoyens français arrêtés depuis 2022 en Iran, ont dénoncé leur “disparition forcée” vendredi en l’absence d’informations sur leur État après les attaques perpétrées par les forces israéliennes contre la prison d’Ervienne, située à Téhran, la capitale.
“Nous ne savons absolument rien d’eux, nous ne savons pas s’ils sont toujours en vie ou où ils sont”, a déclaré la sœur de Cecile, Noemie Kohler, lors d’une conférence de presse dans laquelle il a exigé “des preuves qu’ils sont toujours en vie”.
Anne-Laure Paris, fille de Jacques, qui “craint” pour sa vie l’a rejointe. Pendant ce temps, l’équipe juridique de parents a rappelé que ce sont “les otages de l’État d’Iran qui ont été arrêtés cruels, inhumains et arbitraires”. “Ils sont portés disparus”, a-t-il dit, avant de déclarer qu’à des fins juridiques, cela constitue une “disparition forcée”.
“Ils ont peut-être été transférés dans une autre prison ou pourraient être sous les débris”, a-t-il déploré, avant d’élever la possibilité qu’ils aient été envoyés dans des “installations clandestines”.
Au milieu de la mai, le gouvernement de la France a déposé une plainte contre l’Iran devant la Cour internationale de justice (CIJ) dans l’affaire ces deux citoyens. Kohler, 40 ans, est professeur de littérature d’est de la France. Elle et son mari, Paris, 71 ans, ont été accusés par Téhéran de faire partie de l’intelligence française.