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Le chef des affaires étrangères de la France, Jean-Noel Barrot, a déclaré dans les déclarations de presse selon lesquelles “il n’y a pas de solution” au conflit entre l’Iran et Israël “par les médias militaires”, il a donc exhorté à “être ouvert au dialogue” avec les États-Unis “sans attendre la cessation des attaques israéliennes”.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, a également statué, qui a indiqué qu’à la réunion, ils ont clairement indiqué que “l’Iran ne peut pas avoir d’arme nucléaire”. “C’est un moment dangereux et il est essentiel que nous ne voyions pas une escalade régionale de ce conflit”, a-t-il fait valoir, ajoutant que les pays européens “sont intéressés” par des discussions continues avec Téhéran.
Le long du ministre allemand des Affaires étrangères, Johann Wadephul, qui a catalogué des conversations “sérieuses” et a affirmé que la région se trouve dans “une situation extrêmement critique”. “J’ai l’impression que la partie iranienne est essentiellement disposée à discuter de toutes les questions importantes”, a-t-il déclaré.
Pour sa part, le haut représentant de l’UE pour la politique étrangère, Kaja Kallas, a réitéré que l’escalade régionale ne profite à personne. “Nous acceptons de discuter des problèmes nucléaires, mais aussi d’autres plus larges et de poursuivre les conversations”, a-t-il ajouté.
Plus tard, les représentants européens ont publié une déclaration conjointe sur la réunion dans laquelle ils expliquent qu’ils ont partagé avec la délégation iranienne “leur profonde préoccupation pour la montée des tensions au Moyen-Orient” et ont réitéré “leur solide engagement envers la sécurité d’Israël”.
“Ils ont exprimé leur opinion selon laquelle toutes les parties doivent s’abstenir de prendre des mesures qui conduisent à une plus grande escalade dans la région et à trouver une solution négociée de toute urgence pour s’assurer que l’Iran n’obtient jamais une arme nucléaire”, ont-ils indiqué, ajoutant qu’ils ont discuté “des moyens pour une solution négociée”.
De la même manière, ils ont exprimé leur inquiétude quant à “l’expansion du programme nucléaire iranien, qui n’a pas un objectif civil crédible”, alors qu’ils ont choisi de “continuer à discuter de toutes les questions pertinentes” avec Téhéran.
“Ils ont exprimé leur plein soutien au directeur général de l’Agence internationale pour l’Énergie atomique (Rafael Grossi) et ont encouragé l’Iran à coopérer pleinement avec l’organisme, conformément à leurs engagements juridiquement contraignants”, indique le communiqué.
Enfin, ils ont soutenu la poursuite des conversations et ont accueilli “avec satisfaction les efforts continus des États-Unis pour trouver une solution négociée”. “Ils ont exprimé leur volonté de se revoir à l’avenir”, se sont installés.
Sans cessation des attaques, il n’y a pas de négociations
Le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araqchi a déclaré qu’il soutenait “la poursuite des conversations” avec les trois pays européens et avec l’Union européenne. “Nous sommes prêts à tenir une autre réunion”, a-t-il déclaré.
Cependant, il a indiqué que “l’Iran continuera d’exercer son droit légitime de se défendre” et a réitéré qu’ils ne négocieront “avec aucune des parties pendant que les attaques israéliennes se poursuivent”, a indiqué le ministre dans un message publié dans sa chaîne télégramme.
Araqchi a également réitéré que le programme nucléaire iranien est “Pacifique” et est sous la supervision de l’Agence internationale de l’énergie atomique (OIEA). “Nous sommes inquiets du manque de condamnation des attaques atroces d’Israël”, s’est-il installé.
La rencontre avec la délégation iranienne en Suisse est produite au milieu des efforts diplomatiques pour tenter d’atteindre l’incendie après le début du 13 juin de l’offensive militaire d’Israël contre le pays d’Asie centrale.