L'amnistie dénonce les disparitions forcées au Venezuela comme une attaque systématique contre la population

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Amnesty International a dénoncé mardi que les Vénézuéliens “se sont engagés et ont continué à commettre des” disparitions forcées “dans le cadre de leur politique de répression contre la dissidence” selon les conclusions d’un rapport qui étudie la situation de 15 cas documentés par l’organisation depuis juillet 2024, dont Eleven restent soumis à la disparition forcée, notamment des citoyens, des États-Unis, du France, de l’Espagne, Ukraine, Colombia, Colombia et Unite.

Les affaires espagnoles sont Andrés Martínez et Jose María Basoa, arrêtées en septembre 2024, accusées d’avoir prétendument appartenu au Spanish Intelligence Service (National Intelligence Center, CNI) et d’intégrer un prétendu réseau de “mercenaires” dont l’objectif serait de tenter contre le gouvernement vénézuélien.

“Les deux hommes étaient entrés dans le pays à des fins touristiques, et les autorités espagnoles ont nié tout lien entre eux et le CNI. À ce jour, ils restent disparus de manière forcée”, selon Amnesty. À la fin de son rapport, l’organisation prend note qu’au moins 46 personnes pourraient être forcées, selon les informations recueillies par une autre organisation, Criminal Forum, lié à l’opposition vénézuélienne.

Amnesty réitère que, dans la plupart des cas, il a analysé, la détention a un caractère “arbitraire et manquant légal” et souligne que “pratiquement tous”, ils ont motivé la motivation en raison de leur participation à des manifestations, soit par des moyens critiques avec le gouvernement vénézuélien.

Ainsi, Amnesty International et son secrétaire général, Agnés Callamar, concluent “que ces graves violations des droits de l’homme et les crimes du droit international sont commis dans le cadre d’une attaque généralisée et systématique contre la population civile au Venezuela”.

“Compte tenu de la commission incessante des crimes du droit international, y compris des crimes contre l’humanité et une impunité dominante dans le pays, nous appelons le bureau du procureur de la CPI pour avancer fermement la situation au Venezuela et envisagez d’inclure le crime contre l’humanité de la disparition forcée dans son enquête”, a déclaré Callamard.

“Les autorités vénézuéliennes doivent mettre fin à la pratique des disparitions forcées sans excuses ni retards. Les familles ont le droit de connaître le sort et où se trouvent ceux qui ont été contraints par forcé.

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