L'Algérie convoque l'ambassadeur de France après l'arrestation d'un diplomate algérien accusé d'avoir kidnappant

Le ministère algérien des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur français d’Alger, Stéphane Romatet, pour exprimer sa protestation pour l’arrestation d’un citoyen algérien atteint de passeport diplomatique, l’un des trois arrêtés pour l’enlèvement présumé et l’intimidation de l’influenceur “ influenceur ” et de l’adversaire algérien AMIR AMIR PRINCK PRINCH, connu sous le nom de “ Amir DZ ”, qui a passé 27 heures Kidn a Kidna sur April 29, 2024.

L’Algérie a exprimé sa «manifestation énergique après la décision des autorités judiciaires françaises d’imputer et d’émettre une prison provisoire contre l’un de ses agents consulaires pour le sol français», a publié le ministère algérien des Affaires étrangères.

Le détenu est accusé kidnappant de Bujurs, un “voyou”, selon Alger, qui “rejette et rejette les raisons données par le bureau du procureur anti-terroriste” pour son arrestation.

“Au niveau officiel, l’Algérie se souvient que l’agent consulaire a été arrêté en public et mis en garde à vue sans notification par canal diplomatique en violation flagrante de l’immunité et des privilèges liés à leurs fonctions dans le consulat algérien à Créteil, ainsi que la coutume précédente entre l’Algérie et la France”, soutient-il.

Par “fond”, l’Algérie met en évidence “la fragilité et l’incohérence de l’argument pourri et forcé des services de sécurité du ministère de l’Intérieur” qui “soutient cette intrigue judiciaire inacceptable avec l’argument selon lequel le téléphone portable de l’agent consulaire accusé a été détecté au domicile de l’énergie AMIR Bujors.”

Pour toutes ces raisons, l’Algérie demande “la libération immédiate” du détenu après ce “virage non publié dans les annales des relations algériennes-français” qui “cherche à inverser le processus de reprise des relations bilatérales convenues par les deux chefs d’État” dans leur récente conversation téléphonique.

“Cette tournure malheureuse et malheureuse des événements montre qu’il y a des personnes en France ne sont pas ému par le même désir de revitaliser les relations bilatérales”, a-t-il ajouté.

Critique ainsi la “surprise inévitable du choix cynique adopté par les tombes de la normalisation des relations bilatérales” couvertes par des bougies d’allumage, qualifiées de “bannière de l’éloquence anti-gratise”, dont il rappelle qu’il existe une demande d’extradition en vigueur par “l’activité subversive liée aux organisations terroristes”.

Bujurs, 41 ans, a obtenu l’asile politique en France en 2023, et est prolifique dans les réseaux sociaux tels que YouTube ou Tiktok, où il a des milliers de disciples pour leur contenu critique avec l’État algérien et la corruption de ses dirigeants.

Le bureau national du procureur anti-terroriste français a rapporté samedi l’imputation de trois suspects quatre jours après leur arrestation, qui serait impliqué l’enlèvement de l’activiste.

L’enlèvement s’est produit le 29 avril 2024, lorsque Amir Bugors est retourné chez lui à Valle del Marne, au sud-est de Paris. Une voiture sans badges et avec des lumières clignotantes a bloqué le passage près de son domicile et quatre hommes déguisés en civil, deux d’entre eux avec des bracelets orange de police l’ont sorti de son véhicule, ils l’ont menotté et l’ont emmené à Pontault-Combault, dans la région de Sena et Marne.

Enfin, 27 heures après la libération de son enlèvement près d’une forêt de l’endroit où il a marché jusqu’à la route la plus proche où il a convaincu un chauffeur de le ramener à la maison.

Bujurs a fait l’objet de deux agressions antérieures, selon son avocat, qui souligne que l’enquête d’enlèvement a permis de découvrir un réseau d’espionnage à Bercy et le Bureau français pour l’immigration et l’intégration qui ont transmis des informations sensibles aux autorités algériennes.

L’affaire se déroule parallèlement aux annonces de Paris et d’Alger pour la récomposition des relations bilatérales, touchées depuis août 2024, le président français, Emmanuel Macron, a envoyé une lettre au roi marocain, Mohamed VI, reconnaissant la souveraineté marocaine sur l’ancienne colonie espagnole du Sahara occidental.

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