Le gouvernement français a exclu ce jeudi de rejoindre le boycott diplomatique des JO d’hiver de Pékin, car il considère que « le sport est un monde qui doit être préservé autant que possible des ingérences politiques ».

Estados Unidos ha impulsado un boicot al que ya se han sumado países como Australia, Reino Unido o Canadá y que implica no enviar representación política a los Juegos Olímpicos que acogerá China en febrero, sin que afecte en principio a los deportistas de cada uno de estos les pays.

Le ministère français des Affaires étrangères a indiqué mardi, par l’intermédiaire d’une porte-parole, que Paris était favorable à « une coordination au niveau européen » de toute mesure et ce jeudi le ministre de l’Éducation et des Sports, Jean-Michel Blanquer, a nuancé par rapport au boycott que la France « Ne fera pas. »

En ce sens, il a défendu dans une interview sur BFMTV et RMC que sur le terrain politique le gouvernement français s’est exprimé « sans ambiguïté » par rapport à Pékin, de la « persécution » des Ouïghours au Xinjiang à la disparition du joueur de tennis. Peng Shuai. « Nous devons être clairs, fermes, nous ne l’accepterons pas », a-t-il déclaré.

Cependant, le boycott diplomatique est « une autre histoire », puisqu’il considère qu’il peut affecter le sport lui-même et avoir des dérives indésirables. Blanquer a précisé qu’il n’irait pas à Pékin, mais la responsable des Sports au ministère, Roxana Maracineanu, le fera.

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