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Le gouvernement de la France a confirmé ce vendredi que deux travailleurs de la nationalité française des Nations Unies avaient été gravement blessés dans les bombardements exécutés par Israël contre un bâtiment international dans la bande de Gaza, qui a entraîné la mort d'un membre bulgare de l'Office of Services for Projects (UNOPS).
“La France exprime sa consternation en raison du fait que deux employés français, des Nations Unies, ont été grièvement blessés après les attentats à la bombe qui ont atteint deux bâtiments qui ont accueilli des membres du personnel de l'ONU à Gaza, qui a causé la mort d'un employé de l'UNOP”, a déclaré le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué, intitulé “Deux blessés français après le bombardement israélien à Gaza”.
Ainsi, il a exprimé sa phrase à l'attaque, qui a marqué “inacceptable”, et a demandé que “la responsabilité de cet incident est rapidement clarifiée”. “La protection du personnel humanitaire, qui a déjà payé un prix très élevé à Gaza, doit être garanti en toutes circonstances, conformément au droit international humanitaire”, a-t-il ajouté.
“La France applaudit l'immense courage du personnel humanitaire qui risque sa vie pour aider la population civile de la bande de Gaza et dans le monde entier”, a-t-il dit, alors qu'il a transféré toute sa “solidarité” et “soutien” aux parents des Français blessés dans l'attaque, dont les identités n'ont pas transcendé.
Les Nations Unies ont annoncé jeudi l'ouverture d'une enquête sur l'attaque de l'un de ses complexes dans la ville de Deir Al Balá, au centre de la bande de Gaza, tandis que l'UNOP a confirmé que le défunt est Marin Valev Marinov, 51, 51 ans et la nationalité bulgare.
L'UNOPS a indiqué dans un communiqué que cinq autres travailleurs de l'ONU avaient été “gravement blessés” dans l'incident et ont précisé que trois d'entre eux travaillaient en apportant l'action contre les mines des Nations Unies (UNMAS), tandis que deux autres travaillent en apportant un soutien au mécanisme 2720 pour Gaza, en charge de la gestion de l'aide humanitaire dans l'enclave.
Après l'événement, l'armée d'Israël s'est éloignée des accusations et a affirmé que “les Forces de défense israéliennes (IED) n'ont pas attaqué le siège des Nations Unies à Deir au Balá”. “Les FDIS demandent aux médias qu'ils ont mis en garde avec les rapports non vérifiés”, a-t-il dit, après quoi il a annoncé l'ouverture d'une enquête d'incident.
For his part, Hamas denounced the “atrocious crime” perpetrated by Israel by “attacking a headquarters used by foreign workers from the UN agencies in Deir to the Balá”, before adding that “it is framed in the context of the systematic policy of the occupation of attacking civilians and humanitarian workers to terrorize them and deter them from fulfilling their humanitarian work with the people, delving into the people La bande de Gaza “.