Le ministre de la France de la France, Jean-Noël Barrot, a annoncé ce dimanche depuis la capitale algérienne “la réactivation imminente de tous les mécanismes de coopération” avec les autorités du pays nord-africain, après des mois de tensions croissantes entre Paris et Algiers en raison de l’arrestation de l’auteur de la double nationalité Boalem Salam et du négatif de l’algérie pour collaborer avec la déportée de la déportée des citoyens alginiens du pays européen dans le pays européen.
Le chef de la diplomatie française a prononcé ces mots après une rencontre avec le président algérien, Abdelmayid Tebne, auquel il a transmis que “la France souhaite transformer la page en tensions actuelles pour reconstruire une association égale, sereine et pacifique avec l’Algérie”.
Lors d’une conférence de presse, Barrot a souligné que “il avait beaucoup d’intérêt” à se présenter dans Alger “,” moins d’une semaine après l’appel téléphonique entre “Tebune et son homologue galicien, Emmanuel Macron, après quoi il a déjà avancé sa prétention à reprendre le dialogue dans des questions clés telles que la sécurité, la justice et la migration.
Le ministre du portefeuille diplomatique a spécifié que les contacts “en termes de sécurité (e) du renseignement” – qui comprend un “dialogue stratégique sur le Sahel” -, dans la mobilité et la migration en particulier sur “les réadmissions et les visas” à travers les canaux “habituels et fluides” – ainsi que dans le secteur économique et la “commission mitigée” “pour” poursuivre la restitution des biens “.
Malgré cela, Barrot s’est de nouveau exprimé à propos de l’écrivain franco-argin Boalem Sansal-Teained en novembre 2024 et condamné à cinq ans de prison pour “attaquer contre l’unité nationale” et des “publications contre la sécurité et la stabilité du pays” -, réitérant les paroles de Macron lorsqu’ils demandent aux autorités algériennes qui ont un “geste de l’humanité” envers cette “santé”.