Les forces de sécurité de la France ont arrêté quatre autres personnes qui auraient été impliquées dans les attaques perpétrées au cours des derniers jours contre plusieurs institutions pénitentiaires du pays, les personnes arrêtées ont donc déjà près de trente ans.
La police a indiqué que sur ces quatre nouveaux détenus au moins trois sont des mineurs. Tous auraient agi au nom du groupe DDPF – qui pourrait être traduit par défense des droits des prisonniers français -, selon les informations recueillies par le journal français «Le Figaro».
Ces dernières arrestations ont eu lieu dans le cadre d’une opération lancée mercredi à l’aube dans les régions de Paris, Marseille, Lyon et Bordeaux. Plusieurs enregistrements ont également été réalisés dans ces zones.
Les forces de sécurité font face à plus d’une douzaine d’attaques, qui comprennent des véhicules brûlants dans les prisons et même des tirs à proximité de certains de ces centres. La plupart d’entre eux se sont produits entre le 13 et le 21 avril, bien que d’autres incidents aient également été détectés qui peuvent ne pas être directement liés à l’objet principal de l’enquête.
La situation a conduit les autorités à sortir de prison et à mettre cinq prisonniers considérés comme les principaux instigateurs de ces attaques. L’un d’eux est un 22 ans qui est dans la prison d’Aviñón et est considéré comme l’un des principaux membres de la mafia DZ, tandis qu’au moins trois autres ont admis appartenir à cette organisation criminelle de Marseille.
Pour sa part, le ministre français de la justice, Gérald Darmanin, a déclaré que “il appartient à l’enquête judiciaire pour démontrer que les organisations narco-swallowed – c’est une, mais il y a d’autres pour nous intimider”.
Les arrestations ont eu lieu après que le bureau national du procureur anti-terroriste (PNAT) a ouvert une enquête de “Association terroriste pour commettre des crimes” et “une tentative d’homicide en relation avec une entreprise terroriste” après les premières attaques.