Macron remet en question la légalité des bombardements américains sur l'Iran

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Le président français, Emmanuel Macron, a affirmé que les bombardements lancés par les États-Unis sur les installations nucléaires iraniennes n’avaient pas de “cadre de légalité” qui les justifient, malgré le fait que la France puisse “partager l’objectif” pour empêcher la République islamique d’avoir des armes atomiques.

Macron n’a pas été marqué de cette manière des visions d’autres dirigeants européens tels que le British Keir Starmer ou le Friedrich Merz allemand, des pays avec lesquels la France partage avec précision le travail de médiation pour essayer qu’ils négocieront et renoncent à un programme d’armes.

Le président gallic comprend qu ‘”il n’y a pas de légalité dans les attentats à la bombe” et a de nouveau plaidé sur la voie diplomatique pour résoudre le conflit, en se souvenant précisément de la participation française dans les négociations de l’accord nucléaire de 2015 et que les États-Unis, lors du premier mandat de Donald Trump, “ont décidé de quitter” ce pacte trois ans plus tard, quelque chose que France “regrettant” à son époque.

Macron, qui s’est défendu contre la Norvège “la souveraineté des peuples et de l’intégrité territoriale”, une conférence de presse n’a également pas été marquée avec le Premier ministre local, Jonas Gahr Store, des allusions de Trump à un changement potentiel de régime en Iran. “Je ne pense pas que la capacité d’un peuple puisse être remplacée pour changer leurs dirigeants”, a-t-il déclaré devant les médias.

Critique du bombardement de la prison d’Evin

D’un autre côté, Macron a condamné le bombardement lancé lundi par les forces israéliennes au sujet des accès de la prison d’Evin, à Téhéran, car il considère que “il a mis en danger la vie des civils” et “n’a rien à voir avec les objectifs officiellement déclarés” pour cette offensive.

Macron a rappelé que dans cette prison, il y a deux citoyens, Cécile Kohler et Jacques Paris, auxquels le gouvernement français catalogue comme des “otages” du régime iranien. En fait, le ministre des Affaires étrangères de Galo, Jean-Noël Barrot, a confirmé sur les réseaux sociaux qu’il avait parlé avec son homologue ce lundi après une attaque “inacceptable” d’Israël.

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