Libéré le leader indépendant Canaco Christian Tein et trois autres militants après un an de prison

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Une cour de Paris a confirmé jeudi la libération du chef de l’indépendance Canaco Christian Tein ainsi que trois autres militants emprisonnés depuis juin 2024 dans la ville de Mulhouse, dans l’est de la Continental France, pour incitation à la violence lors de la vague de manifestations qui se sont déroulées un mois auparavant lors de la gala de la gala de l’étranger.

Le président du Kanak and Socialist National Liberation Front (FLNKS) a été libéré après être resté en détention provisoire dans le cadre de l’enquête sur les perturbations qui ont explosé à Nueva Caledonia, laissant environ 14 morts, dont deux gendarmes, et des dommages valant plus de deux milliards d’euros, bien qu’il ait refusé à tout moment la violence.

Cependant, selon Radio Nouvelle Caledonie, le militant influent Canaco ne pourra pas contacter les autres protagonistes de l’affaire ou avoir le droit de retourner à Nueva Caledonia.

Parmi les accusations imposées contre Tein, qui fait partie de la coordination de la coordination des actions foncières (CCAT), figurent les crimes de complicité pour commettre un meurtre, un vol à main armée et une participation à une association pénale pour commettre des crimes.

Le CCAT a été accusé par les autorités pour être à l’origine des perturbations vécues dans la région depuis mai, un conflit qui a éclaté alors que le Parlement français a discuté d’une réforme électorale qui a accordé le vote aux citoyens français de Nueva Caledonia.

Le texte a proposé le droit de voter pour les citoyens français qui ont pris au moins dix ans résidant sur le territoire et bien qu’il ait d’abord été approuvé par l’Assemblée nationale, le président du pays, Emmanuel Macron, a été contraint de le paralyser plus tard sa ratification pour arrêter la crise.

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