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MADRID, 30 (PRESSE EUROPÉENNE)

Les dirigeants européens et alliés occidentaux ont condamné ce vendredi la décision du président russe Vladimir Poutine d’annexer les provinces ukrainiennes de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijia à la Russie, ignorant les avertissements des gouvernements occidentaux et de l’ONU, qui remettent en cause la validité juridique de cette annexion. .

La dirigeante du parti d’extrême droite Frères d’Italie (FdI), Giorgia Meloni, a assuré qu’avec cette action, le président russe démontre « une fois de plus sa vision néo-impérialiste à la soviétique, qui menace la sécurité de toute l’Europe ». continent. »

« La déclaration d’annexion à la Fédération de Russie de quatre régions ukrainiennes après le référendum farfelu tenu sous une occupation militaire violente n’a aucune valeur juridique et politique », a-t-il expliqué, ajoutant qu’il s’agit d’une « violation des règles de coexistence entre les nations ». , selon l’agence de presse AndKronos.

Le président français, Emmanuel Macron, s’est également fortement associé à la condamnation, assurant sur son profil Twitter officiel qu’il s’agit « d’une violation grave du droit international et de la souveraineté de l’Ukraine ».

Le Premier ministre japonais, Fumio Kishida, a donné son accord à ce dernier, qui s’est entretenu avec le président ukrainien, Volodimir Zelenski, pour lui dire que le Japon ne reconnaîtra pas cette action de Moscou, car elle représente une « violation du droit international », selon pour ramasser l’agence de presse Kyodo.

Un autre membre du G7, le Canada, a également réitéré que « le territoire de l’Ukraine reste l’Ukraine ». « Les résultats de ces référendums ne sont pas légitimes », a déclaré le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur son profil Twitter officiel.

Depuis l’Europe, le président polonais, Andrezj Duda, a également pris la parole, expliquant que cette action « désespérée » et « pathétique » du Kremlin est une « défaite pour ceux qui croient en l’engagement de la Russie » auprès de la communauté internationale, selon le PAP news agence.

« La République de Pologne ne reconnaît pas et ne reconnaîtra pas les résultats des pseudo-référendums organisés dans ces régions du 23 au 27 septembre de cette année, ni les décrets du président russe annoncés les 29 et 30 septembre sur l’annexion de ces régions. » , a également informé le ministère polonais des Affaires étrangères dans un communiqué.

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