Suivez en direct les dernières nouvelles sur la guerre en Ukraine

La candidate à l’élection présidentielle française et chef de file du Rassemblement national d’extrême droite, Marine Le Pen, a défendu ce vendredi la nécessité d’adopter une position « équilibrée » sur la crise ukrainienne et, bien qu’elle soit favorable à des sanctions, pas une avoir des « conséquences graves » pour tout le monde.

« La seule chose que je ne veux pas, ce sont des sanctions sur les matières premières russes, qui auront des conséquences désastreuses pour les Français et pour le monde », a déclaré Le Pen au micro de la radio France Info, d’où elle a critiqué les tentatives de  » la diaboliser. alors qu’il a démontré avoir une position « raisonnable ».

Le Pen a assuré que même si dans la crise de guerre actuelle « tout n’est pas noir ou blanc », son intention a toujours été de condamner l’invasion de l’Ukraine « de la manière la plus claire possible, puisqu’il s’agit d’une agression armée « inadmissible ».

No obstante, cree que un embargo sobre las materias primas no es la respuesta más adecuada puesto que « puede multiplicar por cuatro, cinco o seis las facturas de los franceses », lo que choca con su objetivo de « defender principalmente al pueblo francés y su pouvoir d’achat ».

« Les sanctions servent à faire pression sur la Russie et à obtenir le retour de la paix, pas à nous rendre hara-kiri », a affirmé la dirigeante d’extrême droite, pour qui l’embargo contre la Russie pourrait la rapprocher de la Chine et cela signifierait « un gros problème pour la France.

En ce sens, Le Pen s’est demandé si autoriser la Russie, « premier producteur mondial de matières premières », à s’associer à la Chine, « la plus grande usine du monde », était la plus appropriée non seulement pour les Français, mais pour le reste du monde. monde.

Quelques jours après l’agression initiée par la Russie et avec des pays occidentaux en plein débat sur l’opportunité d’envoyer ou non des armes sur le front ukrainien, Le Pen a fait valoir que cette stratégie était une erreur et prônait d’épuiser les voies diplomatiques, quitte à aller de l’avant. jusqu’à qualifier le président français, Emmanuel Macron, de « seigneur de la guerre ».

A lire également