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Le gouvernement japonais a clarifié ce vendredi que, bien que faisant partie de la Coalition de Volontaires qui regroupe les pays alliés de l’Ukraine, il ne figure pas dans le bloc des 26 qui auraient déjà souscrit des engagements fermes pour constituer une future “force de garanties”, comme l’a décrite jeudi le président français, Emmanuel Macron.
“Le Japon ne fait pas partie de ces 26 pays”, a nuancé un porte-parole de l’exécutif nippon, Yoshimasa Hayashi, qui a également tenu à préciser que le pays asiatique n’envisage en aucun cas l’envoi de troupes. Le Japon, néanmoins, continuera de participer activement aux discussions futures.
Macron a annoncé à l’issue d’une réunion de la Coalition de Volontaires que 26 des plus de 30 pays qui avaient participé s’étaient engagés à collaborer avec une force qui “par terre, mer et air” garantirait la sécurité de l’Ukraine après un hypothétique accord de paix avec la Russie.
Le chef d’État français a refusé de clarifier la liste des pays ou les capacités engagées, arguant que donner plus de détails donnerait également des indices au Kremlin. L’Élysée laisse donc les clarifications entre les mains de chaque gouvernement et, par exemple, la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a déjà précisé que l’Italie n’enverra en aucun cas des troupes.