La nation a une nouvelle fois dépassé sa barre de contagion, en hausse depuis ces derniers jours, à un moment où les hospitalisations et les décès se multiplient également – mais avec des courbes moins sévères. Le pays a également enregistré un record de nouveaux vaccinés au cours de la dernière journée, avec des données inédites depuis octobre.
Horas después de que el presidente de la nación, Emmanuel Macron, encabezara todos los titulares por haber prometido “enojar” a los no vacunados en el país, Francia reveló un nuevo récord de contagios en medio de una alarmante sexta ola de la pandemia en el Pays.
Selon les autorités sanitaires du pays, il y a eu 332 252 nouvelles infections enregistrées en France révélées le 5 janvier et produites au cours des dernières 24 heures, soit une augmentation de 22% des infections par rapport à la veille, avec 271 686.
Au milieu du rebond des cas et d’une vague entraînée par le niveau élevé de contagion de la variante Omicron – à laquelle est attribuée la situation actuelle – la pression hospitalière augmente également.
Au cours de la dernière journée, les hôpitaux nationaux ont admis 2 500 nouveaux patients pour le coronavirus, dont environ 400 ont été admis dans des salles de soins intensifs. Actuellement, il y a 20 688 patients hospitalisés, dont 3 700 dans les services de soins intensifs.
Les décès enregistrés au cours de la journée étaient de 246. Le pays a déjà enregistré 125 700 décès dus à la maladie depuis le début de la pandémie, selon les chiffres de l’Université Johns Hopkins aux États-Unis.
Pour la première fois depuis octobre, 66 000 nouvelles doses ont été appliquées
Autre chiffre à souligner au cours de la journée de ce mercredi, celui des vaccinations en première dose, avec un total de 66.000 citoyens qui ont reçu une première injection des inoculants autorisés sur le territoire français pour lutter contre la pandémie.
Ce chiffre quotidien ne s’était plus produit depuis le 1er octobre dernier. Le ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué qu’il ne croyait pas que ce soit “par hasard” que cette augmentation soudaine des vaccinations se soit produite et a laissé entendre que cela pourrait avoir un lien avec les déclarations controversées du président Macron mardi.
Actuellement, environ 5 millions de Français n’ont pas reçu de vaccin contre le Covid-19, tandis que quelque 51,9 millions de personnes ont déjà reçu le schéma complet (76,9%) et environ 26,2 millions ont reçu la dose de rappel, qui a commencé à être appliquée dans le pays. depuis septembre.
Castex resserre les rangs autour de Macron et exhorte à valider le pass de vaccination
Les déclarations fortes de Macron, livrées mardi au journal ‘Le Parisien’ et dans lesquelles il a assuré vouloir “mettre en colère” ceux qui n’ont pas été vaccinés, continuent de faire écho dans la politique française.
Ce mercredi précisément, le Premier ministre du pays, Jean Castex, s’est rendu au Sénat, où il a répondu à plusieurs questions de parlementaires et resserré les rangs autour de Macron et de sa position sur les non vaccinés.
« Les propos du président de la République sont tout à fait cohérents avec ce que nous faisons, c’est-à-dire pousser à la vaccination », a déclaré Castex. “Nous avons 20 fois plus de chances de finir en soins intensifs si nous ne sommes pas vaccinés que si nous sommes vaccinés”, a déclaré Castex, avant d’assurer qu’ils continueront à promouvoir le projet de loi sur le laissez-passer de vaccination du gouvernement.
Le règlement, promu par Macron, vise à rendre obligatoire un pass de vaccination avec lequel seuls les vaccinés peuvent se rendre dans les restaurants, bars, cinémas et autres espaces publics, par rapport au pass sanitaire actuel, qui donne aussi la possibilité à ceux qui ont un CRP négatif.
Au Sénat, le Premier ministre a exhorté les membres du Congrès à “débattre le plus rapidement possible” des nouvelles réglementations pour répondre au nombre croissant d’infections auxquelles le pays est confronté.
Les débats à l’Assemblée nationale autour du projet de loi ont été houleux. Ils ont été brièvement suspendus le 3 décembre au milieu des critiques de divers partis d’opposition, et un jour plus tard, les propos de Macron ont de nouveau enflammé les législateurs.
Si l’Assemblée a le feu vert, le texte doit ensuite passer au Sénat. Mais dans le climat houleux de ces derniers jours, si le projet est approuvé, des doutes subsistent quant à son entrée en vigueur à partir du 15 janvier, date de démarrage que le gouvernement avait indiquée pour un élément clé de son plan contre la pandémie. .
Avec Reuters, AFP, EFE et les médias locaux