"Ce n'est pas une opération immobilière"

Le président de la France, Emmanuel Macron, a averti que la solution à la crise de la bande de Gaza ne passe pas par “une opération immobilière”, mais par un processus politique qui prend en compte que “ce n'est pas une terre vide”, comme les traités internationaux reconnaissent.

À cet égard, il a rappelé que les Palestiniens vivant dans cette enclave conservent leur «droit légitime». “Vous ne pouvez pas dire à deux millions de personnes qui partent”, a déclaré le président Gallic dans une interview avec la chaîne CNN dans laquelle il a évité expressément faisant référence aux plans lancés par son homologue américain, Donald Trump.

Par conséquent, il a exhorté à «respecter» la volonté des Palestiniens à essayer de réaliser un État et les positions d'autres «pays souverains» comme la Jordanie et l'Égypte, qui ont rejeté un déplacement forcé potentiel de Gaza, à protéger leurs frontières et leurs frontières et leurs frontières garantir leur sécurité.

Macron a appelé à ne pas encourir de “fautes” et à parier sur une approche “collective” qui peut impliquer des dirigeants des pays arabes et aussi d'Europe ou même des États-Unis pour parler, entre autres, “du jour plus tard à Gaza”, de Des questions telles que le contrôle politique de la bande, les garanties de sécurité ou la reconstruction.

Le président de la France a mis en garde contre la crise humanitaire dans la bande de Gaza et, bien qu'il ait profité de l'interview pour condamner les attaques du 7 octobre 2023 et soutenir le droit d'Israël d'exister, il a également répété ses critiques sur les bombardements israéliens: “Je ne pense pas que ces opérations massives, qui ont parfois un impact sur les civils, soient la réponse.”

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