Yolo Group obtient des licences de jeu aux Émirats Arabes Unis
Yolo Group a obtenu des licences de fournisseur liées aux jeux aux Émirats Arabes Unis pour ses filiales Hub88 Holdings et Live Online Gaming Services.
Les licences permettent à Yolo de fournir du contenu de jeu au marché réglementé des ÉAU. Les deux permis ont été délivrés par la General Commercial Gaming Regulatory Authority, une entité indépendante du gouvernement des ÉAU.
En obtenant ces licences, Live88 deviendra le premier studio de casino en direct en ligne à être approuvé dans la région. Yolo a déclaré que le développement et les tests de produits resteront en Estonie avant de s’étendre aux pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
Les ÉAU sont la première juridiction de la région du CCG à réglementer les jeux de hasard.
« L’obtention de ces licences aux ÉAU est plus qu’une réussite réglementaire », a déclaré Tim Heath, fondateur de Yolo. « C’est une déclaration d’intention. Yolo Group s’engage à construire l’avenir du jeu sur la confiance, la transparence et l’innovation de classe mondiale. »
« Les ÉAU préparent le terrain pour ce à quoi devrait ressembler un jeu moderne et réglementé, et nous sommes fiers de faire partie de ce voyage. »
Accent mis sur le marché réglementé pour Yolo Group
Les nouvelles licences des ÉAU font partie du pivot de Yolo vers les marchés réglementés. Auparavant, la société était fortement axée sur les casinos cryptographiques non réglementés, mais a récemment changé de cap.
Cela s’est accompagné de la confirmation qu’elle intégrera ses marques Sportsbet et Bitcasino dans la marque unique Yolo.com. Yolo a déclaré que l’objectif principal est d’amener Yolo.com sur les marchés réglementés de niveau 1. Cela fait suite à un processus de trois ans de recherche et de préparation pour ce changement.
« La direction est claire : le paysage réglementé est l’avenir du jeu et nous sommes prêts à montrer la voie avec la même innovation audacieuse qui nous a amenés ici », a déclaré la société au moment de l’annonce.
Cependant, Juan Ignacio Ibañez, secrétaire général de la MiCA Crypto Alliance, a soulevé certaines questions concernant ce changement.
« On pourrait penser qu’obtenir une licence consiste simplement à dépenser une somme d’argent dans un cabinet d’avocats et à lui dire d’aller la chercher », a déclaré Ibañez. « Mais il s’avère qu’il faut en fait beaucoup adapter ses processus, n’est-ce pas ? »
« Afin de pouvoir signaler un grand nombre d’éléments que vous devez signaler dans le processus d’obtention d’une licence, vous devez modifier vos propres processus internes, ou mettre en place des processus que vous n’aviez pas auparavant. Donc, organisationnellement, il est assez transformateur de se préparer à opérer sur un marché réglementé. Cela change vraiment votre façon de fonctionner et votre équipe. »
