Plus de tension en France : un homme a été interpellé alors qu’il se dirigeait vers une école armé d’un couteau. A 24 ans, il est déjà connu pour radicalisation
Un autre attaquant arrêté à dans Francecette fois un Paris, toujours avec une école en ligne de mire et armé d’un couteau. Comme le rapporte ‘Le Figaro’, l’homme venait de sortir d’un centre de prière lorsqu’il se dirigeait vers le lycée Condorcet à Limay. La police l’a surveillé à distance puis l’a arrêté pour possession d’une arme inappropriée.
Tensions en France, agresseur au couteau à Limay
La nouvelle nous est parvenue immédiatement Emmanuel Macronqui pendant que la police arrêtait l’homme à Limay se rendait à Arras pour apporter la présence de l’Etat suite à l’assassinat du professeur Dominique Bernard et la blessure de deux autres personnes par un islamiste de 20 ans.
Macron, commentant le premier épisode d’Arras, a déclaré : « La France est une fois de plus frappée par la barbarie de Terrorisme islamique« .
Un deuxième agresseur a été arrêté à Limay, dans le nord de la France, alors qu’il tentait de pénétrer dans une école armé d’un couteau.
En fait, même le deuxième agresseur était déjà connu des autorités sous le nom de « S-enregistré » en raison de son radicalisation.
Le jeune homme, 24 ans, de nationalité française, venait de sortir d’un centre de prière à Limay et tenait un couteau de cuisine.
Pour le moment, l’identité de l’agresseur n’est pas connue.
La première attaque sur Arras
Une journée qui a commencé dans le sang, en France, lorsqu’un jeune de 20 ans s’est révélé être de nationalité Tchétchènele vendredi 13 octobre vers 11 heures, il entre dans le lycée Gambetta-Carnot d’Arras où il tue le professeur de français Dominique Bernard et blesse deux autres personnes.
Le jeune de 20 ans, ancien élève de l’école, n’a pas tardé à le faire arrêté. Selon certains témoins, il aurait crié « Allahu Akbar » alors qu’il accomplissait son acte féroce.
L’attaquant d’Arras s’appelle Mohammed Mogouchkovégalement déjà surveillé par les services de sécurité.
Les mots de Macron
Emmanuel Macron, commentant les événements de Limay, a parlé d’une « tentative d’attentat », déjouée à temps par la police.
C’est pourquoi le président de l’Elysée a salué le travail des policiers qui sont rapidement intervenus pour arrêter le jeune homme de 24 ans.
Selon les premières rumeurs, l’attaque du lycée Condorcet n’aurait fait aucune victime ni blessé.