Les craintes persistantes concernant le Covid-19 et des remises moins généreuses ont réduit les foules lors du « Black Friday », au lendemain de Thanksgiving aux États-Unis, qui marque le début de la saison des achats de fin d’année.

Aux États-Unis, les chineurs qui se sont aventurés à acheter des cadeaux de Noël le ‘Black Friday’ ou ‘Black Friday’, ont trouvé les magasins moins bondés que d’habitude, mais il y a plus d’un an, en pleine pandémie.

Les conséquences de la pandémie continuent de peser sur les esprits des entreprises et des acheteurs : les offres précoces, la peur de la contagion du Covid-19, la crise d’approvisionnement, la forte inflation et le rebond des achats en ligne ont généré ce vendredi 26 novembre une ambiance moins festive .

Une pénurie de conteneurs et de camionneurs a retardé les livraisons, tandis que l’inflation continue de faire des ravages dans les poches. Les acheteurs devraient payer en moyenne 5 à 17 % de plus pour les jouets, les vêtements, les appareils électroménagers, les téléviseurs et autres achats cette année par rapport à l’année précédente, selon le cabinet de conseil Allianz Research.


Les consommateurs américains entrent dans la saison des vacances avec un grand pouvoir d’achat grâce à plusieurs séries de secours en cas de pandémie du gouvernement et à des augmentations de salaire à deux chiffres alors que les entreprises se disputent les travailleurs.

Les données officielles ont montré que les dépenses de consommation américaines ont augmenté de 1,3 point de plus que prévu en octobre. Bien que des éléments tels que les voitures aient augmenté le chiffre, les données ont également montré une augmentation des services tels que les voyages.

Mais ce n’est pas seulement un phénomène des États-Unis. Partout dans le monde, le « Black Friday » est également célébré, cette année avec un message de réactivation économique, après une année 2020 difficile.

Avec Reuters, EFE et AP

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