Le ministre de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation, Luís Planas, a réitéré que l’Espagne réexaminera devant la Cour de justice de l’Union européenne la décision de la Commission européenne d’opposer son veto à la pêche dans 87 zones considérées comme des écosystèmes marins vulnérables parce qu’elles ont « moi les deux arguments » et d’encourager d’autres États membres concernés tels que le Portugal, la France et l’Irlande à se joindre à l’appel espagnol.

« Le gouvernement va saisir la justice luxembourgeoise car il y a beaucoup d’arguments pour le faire. Cela n’a aucun sens que la Commission européenne utilise des données scientifiques non mises à jour alors qu’elle dispose de données plus récentes, avec le même succès qui ne prend pas compte des conséquences économiques et économiques sociais de cette mesure », a assuré Planas avant l’inauguration de la XI Assemblée nationale des corporations de pêcheurs au ministère.

Le chef de la branche a souligné que Bruxelles disposait de deux données scientifiques fournies par l’Espagne, mais qu’aucun rapport d’études économiques et sociales n’était demandé. « Cela m’inquiète que parfois la position de l’Espagne soit remise en question ou travaillée, car nous agissons avec rigueur », a-t-il résolu.

Pour cette raison, il a réitéré que le gouvernement suivra la voie qu’il sera le premier ou empruntera, et qu’il continuera à travailler comme communiqué au commissaire européen à la pêche avec « maintenu » pour essayer de mener à bien tout le travail qui permet avant la protection et la libération une désobligation et un corsage au secteur de la pêche, qui « ne mérite pas les actes adoptés avec un tel prema et un manque de connaissances et de fondement ».

Le porteur du bouquet a voulu mettre en avant « l’unité » dans ce thème. « L’unité des communautés autonomes avec le gouvernement et le secteur est de nous permettre cette efficacité dans la réalisation de ce résultat final d’atténuation des mesures adoptées par la CE », engadiu.

Concernant l’appel que les producteurs galiciens de Burela vont faire, Planas en a qualifié un de « plus intéressant et complémentaire » à celui que fera l’Espagne, puisque les armateurs vont également être touchés par cette décision.

Ainsi, le chef de l’Agriculture encourage plusieurs États membres concernés par cette mesure, comme le Portugal, la France et l’Irlande, à y adhérer ou à y recourir. « Nous informons les autres États membres de notre recours et qu’ils peuvent se joindre à notre action en justice », Sinalou.

« Nous sommes clairs sur le fait que les arguments sont également valables indo sos ou accompagnés par d’autres pays, mais c’est toujours un signe positif. J’espère que le respect pourra être accordé par tout ou partie des États membres concernés », a-t-il déclaré.

Parmi les aspects qui apparaissent, aucun recours ne met en évidence l’impact économique que cette mesure aura pour la flotte espagnole, mais Planas s’est montré prudent et n’a fourni aucun chiffre.

« Il y a un autre argument pour l’appel, ou pour identifier le dommage à mon avis est un dommage suffisant pour justifier clairement que nous fassions cet appel », subliñou.

Doutra banda, Planas sinalou être « heureux » car à ce moment « particulier » l’Espagne a réussi à s’étendre jusqu’à son niveau de poissons du sud. « L’obtention d’une augmentation de 4 122 tonnes de la dotation des quotas de pêche pour les poissons du sud est une excellente nouvelle pour le secteur et pour les 1 200 bateaux de pêche de notre secteur, tant dans le golfe de Gascogne que dans le golfe de Cadix », a-t-il indiqué.

Ils ont également mis en valeur les nouvelles aides du gouvernement d’une valeur de près de 50 millions d’euros pour la flotte espagnole pour atténuer le « gros problème du secteur et de l’économie » comme l’augmentation des coûts de la guerre et on espère que cette mesure être adopté ensemble Au cours des mois précédents, deux armateurs et membres d’équipage espagnols ont été soutenus par un « élément supplémentaire pour atteindre la tranquillité d’esprit et la rentabilité ».

COMME ÉTUDE CONTRAIRE OU IMPACT DONNE LA MESURE

Pour sa bande, ou le président de la Fédération nationale des confréries de pêche (FNCP), Basilio Otero, a également évité de s’exprimer sur l’impact que s’apprête à avoir Bruxelles sur la flotte espagnole.

« Cela coûtera évidemment cher, mais ce sera, comme l’a dit le ministre, il est désormais impossible de le savoir. Il faudra attendre quelques jours, car maintenant les navires essaient de s’adapter à cette nouvelle situation et il est impossible pour calculer le cal Ce sera l’impact », a-t-il expliqué.

Otero a déploré qu’après la mesure du CE les pêcheurs « partent à l’aventure » au moment de la pêche. « Avant, la mer était temporaire et maintenant ils nous ont littéralement effacés sur la carte, donc la quantification de l’impact est désormais impossible », a déclaré Sinalou.

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