Le parquet antiterroriste français a ouvert jeudi une enquête sur la mort d’un citoyen français lors d’une attaque survenue mardi dans un parc national du nord du Bénin, au cours de laquelle un militaire et cinq gardes forestiers locaux ont également été tués.

Il s’agit d’un citoyen français de 50 ans qui avait été embauché par African Parks, une organisation non gouvernementale qui a fait état ce mercredi de l’embuscade fatidique dans le parc national du W au Bénin, frontalier du Burkina Faso et du Niger, et dans laquelle ils ont également été blessés. .dix autres personnes.

Des sources citées par la radio Beninsea Frissons ont indiqué que cette personne avait été portée disparue après l’attaque et que son corps a été retrouvé par la suite dans la zone, pour laquelle il a été transféré à Kandi (nord) pour identification, comme le rapportent des informations recueillies par les Béninois. journal ‘La Nouvelle Tribune’.

Selon certains médias français, la victime avait fait partie des Forces armées françaises et se trouvait dans la zone en train d’effectuer des missions de formation pour les rangers qui protégeaient les installations de ce parc, géré par l’ONG African Parks.

Après l’attentat, le président béninois, Patrice Talon, a convoqué ce jeudi une réunion extraordinaire du gouvernement à laquelle participeront de hauts responsables militaires pour faire le point sur la situation et proposer des stratégies de lutte contre le terrorisme, selon le portail Benin Web TV.

El suceso tuvo lugar apenas unos días después de que las autoridades beninesas confirmaran la muerte de un supuesto terrorista el sábado en el marco de un ataque contra una posición militar en la localidad de Yangoli, situada en el noroeste del país, cerca de la frontera con Burkina Faso.

La précédente attaque de ce type dans le nord du Bénin a eu lieu début janvier, lorsque deux soldats ont été tués par l’explosion d’une bombe. Un rapport publié en juin 2021 indiquait que le nord du pays présentait plusieurs des conditions qui ont permis aux groupes jihadistes d’étendre leur inexorable avancée dans les pays du Sahel.

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