Suivez en direct les dernières nouvelles sur la guerre à Gaza

MADRID, 8 novembre (EUROPA PRESS) –

Le gouvernement français et les partis de gauche ont critiqué l’intention des mouvements d’extrême droite de se joindre dimanche à un rassemblement contre l’antisémitisme convoqué par les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, rappelant l’origine du Front national reconverti. et quelques déclarations polémiques de son ancien dirigeant, Jean Marie Le Pen.

La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, alliée du président français Emmanuel Macron, et le principal responsable du Sénat, Gérard Larcher, des Républicains, espèrent « unir la nation contre les porteurs de haine ». , après Ces dernières semaines, des actes antisémites ont été signalés en France, sur fond d’escalade des tensions au Moyen-Orient.

L’initiative « a priori » n’inclut pas de veto, mais a suscité une controverse après que le leader du Rassemblement national (ancien Front national), Jordan Bardella, et l’ancienne candidate à la présidentielle Marine Le Pen ont appelé les partisans de l’extrême droite. formation à laquelle assister pour exprimer « le rejet absolument total » de l’antisémitisme.

« Nos compatriotes juifs sont confrontés depuis longtemps à des actes de ce type », a déclaré Le Pen, dont le père a été reconnu coupable de prône le nazisme, dans un entretien à RTL. Pour Jean Marie Le Pen, les chambres à gaz n’étaient qu’un « détail » de l’Histoire, qui lui a valu une condamnation judiciaire.

Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a déclaré devant les médias qu’il s’agissait d’une « manifestation à laquelle chacun a le droit de participer », mais a indiqué que le Groupe national « n’a pas sa place ». Plusieurs membres de l’Exécutif sont attendus, dont la Première ministre, Elisabeth Borne.

Desde la izquierda, el Partido Socialista también tiene previsto sumarse, aunque tanto La Francia Insumisa (LFI) como el Partido Comunista Francés (PCF) han confirmado que no acudirán, en una batería de comunicados y declaraciones en la que han repudiado que la ultraderecha pueda Être présent.

L’ancien candidat à la présidentielle Jean-Luc Mélenchon, de LFI, a également critiqué « l’arc républicain » pour avoir utilisé le « prétexte de l’antisémitisme » pour continuer sans exiger un cessez-le-feu entre Israël et le Mouvement de la Résistance islamique (Hamas). « Les amis du soutien inconditionnel au massacre ont rendez-vous », a-t-il déclaré sur son compte du réseau social X (l’ancien Twitter).

A lire également