Le président de la France, Emmanuel Macron, s’est rendu lundi à l’archipel de mai, un territoire à l’étranger situé entre Madagascar et le coût sud-est de l’Afrique continentale et qu’il y a environ quatre mois a subi les effets du cyclone dévastateur “ Chido ”, qui a officiellement fait 40 morts, bien que les autorités françaises elles-mêmes aient souligné que le nombre de défunts pourrait être “des centaines”.
Macron a atterri à Mayotte, à environ 8 000 kilomètres de Paris, pour promouvoir un projet de loi pour la reconstruction de l’archipel et qui envisage également des mesures pour lutter contre l’immigration, garantir l’accès au logement et à combattre l’insécurité dans un contexte de crise économique sérieuse après une tempête qui a balayé une grande partie du territoire.
Les habitants locaux s’attendent à ce texte pendant des années, qui devrait être ratifié cet après-midi par l’extraordinaire ministère des Ministères que le président Macron dirigera télémématiquement l’avion qui transférera Mayotte à la réunion, car la visite de l’archipel étranger ne durera guère environ dix heures, selon Franceinfo.
Macron prévoit de se réunir en premier lieu avec la population locale affectée et les représentants du secteur agricole, l’un des plus touchés par le «chido»; Plus tard, il a des réunions prévues avec les autorités élues de Mayotte pour faire face au projet de loi. Le président s’est rendu dans cette région en décembre, peu de temps après le passage de la tempête, et a dû faire face aux critiques de la population et des dirigeants, qui reprochent l’abandon de Paris.
Le projet de loi susmentionné prévoit d’imposer des réglementations rétrogradées pour obtenir le permis de séjour à Mayotte, il tentera également de lutter contre l’insécurité avec la saisie d’armes illégales, tandis qu’au niveau économique qu’elle cherche à faire de l’archipel une zone franche mondiale avec des exemptions fiscales de 100% dans tous les secteurs.
Macron a visité Mayotte – le territoire le plus pauvre de la campagne de décembre au milieu de la critique de l’abandon de celui qui est pendant des décennies par la France continentale. Les autorités insulaires maintiennent la figure de 39 tuées par le passage de «Chido», bien que le préfet du territoire, François-Xavier Bieuville, ait glissé à son époque que le cyclone aurait laissé des «centaines de morts» qui pourraient être des «milliers».
Le fait que la population, en tant que majorité musulmane, ait commencé à enterrer les victimes 24 heures sur 24, a ajouté au grand nombre de personnes sans papiers à Mayotte-Asound 100 000 personnes rien de plus que de gêner le nombre de décès pour la tempête “ Chido ”, qui a laissé une destruction sans précédent dans le nord-est de l’archipel.